Statuette Tara blanche artisanale 20 cm
Statuette bouddhiste Tara Blanche – Résine naturelle patinée, 20 cm
Cette statuette artisanale de Tara Blanche est une pièce vibratoire élégante, réalisée en résine naturelle avec une patine à l’ancienne qui lui confère un aspect authentique et sacré. Elle incarne la pureté lumineuse, la guérison spirituelle et la compassion active. Fabriquée à la main au Népal, elle est idéale pour un autel personnel, un espace de méditation ou comme objet de dévotion féminine.
Caractéristiques
- Divinité : Tara Blanche
- Finition : résine naturelle, patine artisanale à l’ancienne
- Dimensions : hauteur 20 cm × largeur 13,5 cm × profondeur 7 cm
- Poids : environ 846 grammes
- Origine : fabrication artisanale au Népal
Symbolique
Tara Blanche est vénérée pour ses pouvoirs de guérison, sa longévité et sa capacité à dissiper les obstacles karmiques. Elle incarne la sagesse féminine universelle, la protection bienveillante et la pureté du cœur. Cette statuette peut être utilisée comme talisman de purification, support de prière ou objet rituel dans les pratiques bouddhistes.
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Bijoux argent fabriqués sans émission de gaz carbonique
Quelle est la signification de Tara Verte ?
Selon la légende, Târa la bodhisattva serait née sous les traits de la princesse « Lune de sagesse », qui décida de devenir nonne.
Des moines lui conseillèrent de prier pour obtenir une renaissance plus propice dans un corps d’homme.
Elle leur répondit que dans la réalité ultime, il n’existe pas plus d’homme ou de femme que de « je » ou de « moi », et fit le voeu de
continuer à se manifester dans un corps de femme pour aider tous les êtres, jusqu’à ce que l’océan de l’existence samsarique se soit asséché.
On dit aussi qu’elle naquit d’une larme versée par Chenréri (ou Avalokiteshvara), le bouddha de la compassion, dont elle est une émanation.
Le nom de Târa, qui veut dire étoile, est interprété comme « celle qui aide à traverser » (l’océan du samsara), la salvatrice, la libératrice.
Târa vole au secours de tous ceux qui l’invoquent dans l’adversité, ou, comme le disait le sage indien Chandragomi au 7èmè siècle,
« Aya Târa répond instantanément à toutes les prières désintéressées.
Les souhaits égoïstes risquent de prendre un peu plus longtemps… »
Les deux formes les plus connues de Târa sont la verte et la blanche, ainsi que 21 manifestations qui font l’objet d’une très belle prière.
La Târa verte protège des peurs, des dangers et des ennemis, qu’elle dompte pacifiquement.
La Târa blanche est souvent invoquée pour obtenir guérison et longévité.
Archétype de la féminité, Târa a pu être acceptée en tant que bouddha féminin grâce à l’apparition du tantrisme.
Son culte s’est développé au Tibet au 11 ème siècle, sous l’influence d’Atisha, fondateur de l’ordre Kadam, précurseur des Gelugpas.
Mais déjà au 8 ème siècle, Guru Padmasambhava, père du bouddhisme tibétain aurait dit « qu’il faut un corps humain pour atteindre l’illumination. Homme ou femme, il n’ y a guère de différence. Mais pour celle qui est résolue à développer l’esprit d’éveil, un corps de femme est plus favorable. »
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avis
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Exceptionnelle et en plus tellement jolie !