Statue bouddhiste Tara Verte – Artisanat tibétain
Statuette bouddhiste Tara Blanche – Résine peinte à la main, 16 cm
Cette statuette de Tara Blanche est une pièce d’artisanat sacré népalais, réalisée en résine et peinte à la main avec délicatesse. Elle incarne la compassion universelle, la guérison spirituelle et la pureté du cœur, dans une posture apaisante et lumineuse.
Caractéristiques
- Hauteur : 16 cm
- Largeur : 11 cm
- Profondeur : 7 cm
- Poids : 454 grammes
- Matière : résine
- Finition : peinture artisanale
- Origine : fabrication au Népal
Symbolique
Tara Blanche est vénérée pour prolonger la longévité, dissiper les obstacles karmiques et favoriser la guérison intérieure. Sa posture sereine et ses attributs sacrés invitent à la paix du cœur, à la clarté mentale et à l’éveil par la compassion.
Une pièce idéale pour enrichir un autel personnel, accompagner les pratiques méditatives ou offrir un objet sacré porteur de lumière et de sérénité.
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Bijoux argent fabriqués sans émission de gaz carbonique
Signification de Tara Verte
Selon la légende, Târa la bodhisattva serait née sous les traits de la princesse « Lune de sagesse », qui décida de devenir nonne.
Des moines lui conseillèrent de prier pour obtenir une renaissance plus propice dans un corps d’homme.
Elle leur répondit que dans la réalité ultime, il n’existe pas plus d’homme ou de femme que de « je » ou de « moi », et fit le voeu de
continuer à se manifester dans un corps de femme pour aider tous les êtres, jusqu’à ce que l’océan de l’existence samsarique se soit asséché.
On dit aussi qu’elle naquit d’une larme versée par Chenréri (ou Avalokiteshvara), le bouddha de la compassion, dont elle est une émanation.
Le nom de Târa, qui veut dire étoile, est interprété comme « celle qui aide à traverser » (l’océan du samsara), la salvatrice, la libératrice.
Târa vole au secours de tous ceux qui l’invoquent dans l’adversité, ou, comme le disait le sage indien Chandragomi au 7èmè siècle,
« Aya Târa répond instantanément à toutes les prières désintéressées.
Les souhaits égoïstes risquent de prendre un peu plus longtemps… »
Les deux formes les plus connues de Târa sont la verte et la blanche, ainsi que 21 manifestations qui font l’objet d’une très belle prière.
La Târa verte protège des peurs, des dangers et des ennemis, qu’elle dompte pacifiquement.
La Târa blanche est souvent invoquée pour obtenir guérison et longévité.
Archétype de la féminité, Târa a pu être acceptée en tant que bouddha féminin grâce à l’apparition du tantrisme.
Son culte s’est développé au Tibet au 11 ème siècle, sous l’influence d’Atisha, fondateur de l’ordre Kadam, précurseur des Gelugpas.
Mais déjà au 8 ème siècle, Guru Padmasambhava, père du bouddhisme tibétain aurait dit « qu’il faut un corps humain pour atteindre l’illumination. Homme ou femme, il n’ y a guère de différence. Mais pour celle qui est résolue à développer l’esprit d’éveil, un corps de femme est plus favorable. »