Grand Masque mural Tara Verte 38 cm Statuettes Bouddhistes MASKTV2

Grand Masque mural Tara Verte 38 cm

Eveil Oriental
89,00 €

Grand Masque mural Tara Verte en résine rouge

Ce masque mural Tara Verte est assez lourd et imposant. Un crochet à l'arrière lui permet d'être fixé contre un mur.

  • Hauteur 38 cm
  • Largeur 22 cm
  • Poids 1.360 kg
  • En résine peinte à la main
  • Fabriqué au Népal
Référence
MASKTV2
Vendu

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La légende de Tara Verte

Selon la légende, Târa la bodhisattva serait née sous les traits de
la princesse « Lune de sagesse », qui décida de devenir nonne.
Des moines lui conseillèrent de prier pour obtenir une renaissance plus propice dans un corps d’homme.
Elle leur répondit que dans la réalité ultime, il n’existe pas plus
d’homme ou de femme que de « je » ou de « moi », et fit le voeu de
continuer à se manifester dans un corps de femme pour aider tous les
êtres, jusqu’à ce que l’océan de l’existence samsarique se soit asséché.
On dit aussi qu’elle naquit d’une larme versée par Chenréri (ou
Avalokiteshvara), le bouddha de la compassion, dont elle est une
émanation.
Le nom de Târa, qui veut dire étoile, est interprété comme « celle qui
aide à traverser » (l’océan du samsara), la salvatrice, la libératrice.
Târa vole au secours de tous ceux qui l’invoquent dans l’adversité, ou,
comme le disait le sage indien Chandragomi au 7èmè siècle,
« Aya Târa répond instantanément à toutes les prières désintéressées.
Les souhaits égoïstes risquent de prendre un peu plus longtemps… »
Les deux formes les plus connues de Târa sont la verte et la blanche,
ainsi que 21 manifestations qui font l’objet d’une très belle prière.
La Târa verte protège des peurs, des dangers et des ennemis, qu’elle dompte pacifiquement.
La Târa blanche est souvent invoquée pour obtenir guérison et longévité.
Archétype de la féminité, Târa a pu être acceptée en tant que bouddha féminin grâce à l’apparition du tantrisme.
Son culte s’est développé au Tibet au 11 ème siècle, sous l’influence
d’Atisha, fondateur de l’ordre Kadam, précurseur des Gelugpas.
Mais déjà au 8 ème siècle, Guru Padmasambhava, père du bouddhisme tibétain aurait dit
« qu’il faut un corps humain pour atteindre l’illumination. Homme ou
femme, il n’ y a guère de différence. Mais pour celle qui est résolue à
développer l’esprit d’éveil, un corps de femme est plus favorable. »
 
 

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